Ce que j’ai appris après 15 ans d’expérience en tant qu’assureur de vélo de compétition

Une passion née sur la route

Comment un simple coup de pédale a tout changé

Je m’appelle Basile Gogo, et depuis quinze ans, j’ai un métier un peu à part : assureur spécialisé dans le vélo de compétition. Certains pensent que l’assurance, c’est une histoire de formulaires et de clauses. Pour moi, c’est avant tout une histoire de routes, de sueur, de confiance et de gens passionnés.

Vous voulez une anecdote ?Je me souviens d’un matin brumeux en Normandie, en accompagnant un client qui venait de reprendre le vélo après un accident. Il m’a dit : « Basile, tu sais, l’assurance, ce n’est pas qu’un papier. C’est ce qui m’a permis de remonter en selle. » Ce jour-là, j’ai compris que mon travail n’était pas seulement de protéger des vélos, mais de redonner confiance aux cyclistes. Témoigne Basile Gogo, responsable d'Allianz AssuranceVélo

Être assureur, c’est avant tout comprendre les cyclistes

La technique compte, mais l’humain fait la différence

En quinze ans, j’ai rencontré des coureurs pros, des triathlètes, des cyclistes du dimanche… Tous ont un point commun : ils vivent le vélo avec passion. Mais cette passion s’accompagne de risques, chute, vol, casse, imprévu mécanique. Et croyez-moi, chaque situation est différente. L’un roule à Nice sous le soleil, l’autre affronte le vent d’ Est ou les pavés de Lille.

Les Français pensent que l’assurance vélo, c’est une simple formalité. Pourtant, quand le pire arrive, on réalise qu’une bonne assurance vélo, c’est comme un bon casque : on espère ne jamais en avoir besoin, mais on est heureux de l’avoir quand ça compte.

Quinze ans d’expérience, des milliers d’histoires

Ce que m’ont appris les routes, les cyclistes et les sinistres

Dans mon métier, chaque appel, chaque dossier raconte une histoire. Il y a cette triathlète de Lyon qui a vu son vélo tomber du toit de sa voiture à cause d’un vent violent, ou ce jeune compétiteur à Biarritz qui s’est fait voler son cadre à la veille d’une course.Grâce à notre assistance accident, ces cyclistes ont pu reprendre la route rapidement, sans se décourager.

Ce que j’ai appris ? Que derrière chaque vélo, il y a un rêve, une routine, une fierté. Et que la meilleure assurance, c’est celle qui comprend la vie du cycliste dans les moindres détails.

L’évolution du cyclisme et de la sécurité en France

Entre passion populaire et nouveaux défis

Le vélo a connu une renaissance en France. Depuis 2020, le nombre de pratiquants réguliers a bondi de près de 40 %, selon France Bleu, Sport et Santé. Aujourd’hui, on ne roule plus seulement pour le sport, mais aussi pour aller au travail, respirer, ou simplement se sentir libre.Cette évolution s’accompagne d’une prise de conscience : mieux vaut prévenir que guérir.

Selon une étude de Santé Magazine, un cycliste sur deux ne sait pas vraiment ce que couvre son assurance actuelle. Pourtant, les accidents matériels ou corporels restent fréquents, surtout sur les trajets urbains.C’est là que notre rôle entre en jeu : rendre l’assurance claire, simple et adaptée à chaque profil.

Allianz VéloAssurance, une équipe qui roule avec vous

Des formules pensées par des cyclistes, pour des cyclistes

Chez Allianz VéloAssurance, nous ne sommes pas un grand groupe distant : nous sommes une petite équipe de passionnés, souvent sur la selle avant d’être au bureau.Nous savons ce que c’est de préparer une course, de réparer une crevaison sous la pluie, ou de sentir le vent des Landes dans les cheveux.

C’est cette expérience du terrain qui nous pousse à créer des assurances sur mesure, comme la protection du cycliste : couverture en cas de chute, de casse, d’imprévu sur la route, avec une assistance humaine et réactive.

Et demain ?Je crois que l’assurance vélo deviendra plus connectée, plus écologique, plus personnalisée. Mais une chose ne changera jamais : la confiance. Car au fond, être bien assuré, c’est pédaler plus léger, le cœur tranquille, les yeux sur la route. Témoigne Basile Gogo, gérant d'Allianz AssuranceVélo